MAUVAIS GRAS OU BON GRAS
MAUVAIS GRAS ET BON GRAS
Mauvais gras…
À mesure que la graisse viscérale abdominale s’accumule, des cellules du système immunitaire appelées macrophages sont recrutées. Le système immunitaire tente ainsi de corriger une anomalie comme il le ferait lors d’une invasion par un microbe. Comme il utilise l’inflammation pour mobiliser ses cellules spécialisées, et que ses efforts initiaux sont sans effet, il maintient une inflammation chronique tant que le surpoids subsiste. Cette inflammation, qui se manifeste par des cytokines pro-inflammatoires, rend les adipocytes de la graisse viscérale résistants à l’insuline et leur fait libérer leurs acides gras. Ce flux d’acides gras est préjudiciable au foie et au pancréas. Il augmente la production de glucose par le foie, réduit son élimination par l’insuline et conduit finalement à une résistance à l’insuline, une hyperinsulinémie, une hyperglycémie ainsi qu’une stéatose hépatique non alcoolique (NAFLD), la maladie du « foie gras ». En soi, ce n’est pas le plus beau des programmes et ça a tout du cercle vicieux. Autant prendre les devants: Justeligne pour oxyder le gras, jouer sur la glycémie et l’inflammation, Soleil Bleu en cas de foie gras.
Par ailleurs, les taux de testostérone libre sont généralement bas chez les hommes obèses. La restauration du niveau de testostérone (via Seconde Jeunesse) s’accompagne souvent d’une diminution de la graisse viscérale, et d’une amélioration de la sensibilité à l’insuline.
Le stress entraîne des niveaux élevés de cortisol. Des études ont montré que le niveau de cortisol en réponse à un stress est associé au périmètre abdominal chez des femmes ménopausées. D’où l’importance d’appliquer Asthen sur les surrénales.
Bon gras
Dans une étude de Harvard de 2009, une faible consommation d’acides gras oméga-3 à longues chaînes (EPA, DHA) était le huitième facteur prédictif majeur du risque de décès, derrière le tabagisme, l’hypertension, le surpoids et l’obésité, l’inactivité, la glycémie élevée, le cholestérol élevé et la consommation importante de sel. Les chercheurs estimaient que 84 000 décès annuels pourraient être évités si on consommait plus d’oméga-3. Dans une autre étude de 2013, Harvard a établi que les personnes de plus de 65 ans qui ont des taux sanguins d’oméga-3 les plus élevés ont un risque de mortalité totale et un risque de mortalité cardiaque réduits (jusqu’à - 27 % et – 35 % respectivement) par rapport à celles qui avaient des taux bas. Elles vivaient en moyenne 2,2 ans de plus. Il est donc important d’avoir des apports optimaux en oméga-3 à longues chaînes (vous trouverez ceux-ci dans Oléocéane, une cuillère à café apporte 850 mg de EPA et 550 mg de DHA).